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Lucas Usseglio Les d​é​pendances

by Free Monkey Records Label

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1.
Les autres 03:42
2.
Société 03:44
3.
L'amour 03:46
L’amour Tes yeux sont des amandes Bordés d’or et de vert Ou perlent des orages Lorsque ton cœur est pierre Marions-nous alors Mais musicalement De façon que nos êtres Fusionnent en chanson Lorsque la nuit s’éteint Ton soleil est ivresse Souvenirs au matin Ces moments d’allégresses Mais l’amour te fait peur Seule mais sans pleurer Tu contrains tes humeurs Perdre ta liberté Marions-nous mais calmement Afin que nos plaies soient pensées Afin que l’or de nos moments Soient voués à l’éternité Marions-nous mais lentement Ta lumière est mon seul Eden Que l’amour naisse avec le temps Nos deux noms gravés dans l’ébène Etrange et fascinante Tes textes me libèrent Tes mots sont des murmures Enivrants tous mes vers J’ai misé sur ta voie La musique est maitresse Et maitre de nos âmes Elle sait qu’il ne faut pas Sentiments d’impossible D’un parcours idéal Le tout parait plausible Mais l’art est infernal Mon cœur bat la chamade Rythme folk et chamane Ta voix est envoutante Je crains qu’elle ne me hante Marions-nous mais calmement Afin que nos plaies soient pensées Afin que l’or de nos moment Soient voués à l’éternité Marions-nous mais lentement Ta lumière est mon seul Eden Que l’amour naisse avec le temps Nos deux noms gravés dans l’ébène Je t’offre un mariage musical Et ce bouquet de prose Pour toi j’ignore tous les usages Délaissant les bouquets de roses Je t’offre un mariage musical Comme la lune et le soleil J’aimerais t’offrir des millions d’étoiles J’ai peur de n’atteindre le ciel Marions-nous, mais calmement Afin que nos plaies soient pensées Afin que l’or de nos moments Soient voués à l’éternité Marions-nous mais lentement T’a lumière est mon seul éden Que l’amour naisse avec le temps Nos deux noms gravés dans l’ébène
4.
Seigneur 03:49
Seigneur Puisque le bonheur vous incombe, La bonté est votre essentiel. Mais l’on n’a jamais vue colombe Apporter la paix par le ciel. J’aimerais obtenir rendez-vous, Au tribunal ou bien chez-vous, Pour homicide involontaire, Abandon d’âme solitaire. Ou étiez-vous Lorsque le diable était humain ? La veuve et l’orphelin, N’appellerons plus demain. Je vous offrirai même un verre On ira au bar d’à coté.... Pour y constater la misère Et bien sûr, boire pour oublier. Je vous convierai, c’est sincère, À ma dernière veillée, Monologue en prière, L’humour peut l’accepter. Des roses noires poussent au creux des poitrines enneigées. En nos artères coulent des larmes aux teintes rosées. La chute est de velours et l’âme vous est dévouée. Ces appels au secours se perdront dans la voie lactée. Les amis, les amours Sont seuls dieux de l’existence. Le cœur est vagabond À la débauche et l’insouciance. En nos yeux, des rivières. Ses eaux sont troubles et lentes, Sur nos joues des prières Des souvenirs repentent Ou étiez-vous ? Le onze septembre, au doux matin La lumière venait des cieux Mais l’acte n’était point divin. Triste constat que ces nuits blanches À vous appeler patiemment. Sont reflets de mon innocence Que vous ignorez tendrement. Que faisiez-vous Lorsque l’amour s’est éteint ? J’ai des regrets sans fin, Des fardeaux à porter. Des méandres au creux des mains Des textes tristes et vins, À vous faire frissonner Ou Pire, repensé à demain... Reste terre est enfer Entre vos deux associés, Là où la haine prolifère. Oui, celle que vous avez créée. Des roses noires poussent au creux des poitrines enneigées. En nos artères coulent des larmes aux teintes rosées. La chute est de velours mais l’âme vous est dévouée. Ces appels au secours se perdront dans la voie lactée. Je chuchote mes peines à la lune Elle ne me pardonne pas vraiment. Je lui conte mon infortune Et elle scintille au firmament.
5.
Solitude 03:12
Solitude L’amour est liquide, acide en mes artères, Comme la lave il dégouline d’un cratère… L’amour est liquide, acide en mes artères, Comme la lave il dégouline d’un cratère… Un ange adressa un message À mon cœur de pierre : L’amour est un mirage Se brise comme le verre. J’écris, c’est maladif, Ces quelques vers sous sédatifs, Créés pour toi … Pourtant j’entends toujours ta voix. Or Vénus ne m’entend plus, Nulle voie ne porte jusqu’aux cieux. L’amour est un bien satirique, Brodé de sentiments douteux. J’attends que les dieux peignent un ange. Aux cieux, l’enfer se dessina, En retour les nymphes se penchent Au creux des rêves, des fleuves de joies. L’amour est liquide, acide en mes artères, Comme la lave il dégouline d’un cratère… L’amour est liquide, acide en mes artères, Comme la lave il dégouline d’un cratère… J’envoie un message aux déesses, Appose un sceau de solitude. L’encre sur la feuille de neige, Les refrains de ma servitude. J’hurle sous la lune Accompagné des frères canins, Brule d’un feu, cendre luxure, Sur le grand bucher du déclin. Cependant l’amour est aveugle, Silhouette invisible et sans bras. Quand je lui ouvrirai les miens Seul le vent s’y engouffrera. Une pensée belle, une pensée frêle A toi mon ange bien aimé. Toi mon amour spirituel Que je n’ai jamais rencontré. L’amour est liquide, acide en mes artères, Comme la lave il dégouline d’un cratère… L’amour est liquide, acide en mes artères, Comme la lave il dégouline d’un cratère…
6.
Errance : J’l’ai rencontré un soir d’errance On soudait nos lèvres à l’étain J’buvais l’baiser comme un bon vin On s’complété dans notre démence Ondulaient des corps de plaisirs Et du crépuscule à l’aurore J’gouttais au moindre de ses désirs Elle s’pliait devant tout mes efforts L’amour c’est bonheur puis souffrance Pardonnez donc notre deuxième acte ! Comme si l’diable avait signé l’pacte ! Que l’on s’pliait à ses essences… Chui l’oppressé que l’cœur oblige Le démon qui souffre de passion J’lui tends ma main comme un mendiant C’est tout c’que mon cœur érige J’crois qu’j’ai bâfré trop d’sentiments Ça m’donne des balafres à l’esprit J’me nourris d’affres et d’empathie J’sais qu’au désert y aura l’jugement Mes pauv’ chicos couleurs goudron Un pacifique au fond des yeux Les poumons noirs et l’glaviot d’sang Ça tombe en flaque sur l’goudron d’feu J’ai la ganache des bêtes sauvages chui son amoureux l’gougnafier Elle m’a pris l’gosse et s’est tiré j’m’harakirise sur ces rivages Refrain : oui mais madame vous m’aimiez ? Permettez le cœur d’en douter Comme une neige en plein juillet Je sais tout vos contes de fées Oui mais madame vous m’aimiez Vos larmes auraient elles séchées Plus vite qu’elle ne sont tombées Dans les bras d’un autre c’est vrai J’crois qu’chui né sur un bord de lèvre Noyé dans l’écume d’un baiser Echoué sur un corps en fièvre J’vis l’naufrage comme un vacancier Elle m’laisse aller à l’abandon Mais ça changera jamais que j’l’aime J’m’en contrefout de c’que l’on sème Chui dans ma propre abnégation Les émotions ça tire aux larmes Elle m’dit que j’dois être fort et fier Que les hommes ne pleurent que des armes Ainsi leurs cœurs est fait de fer Elle fait son ch’min dans mes entrailles On passe des je t’aime aux je t’haine Et puis les viscères qui s’tiraillent C’est mon amour et mon ulcère Refrain : oui mais madame vous m’aimiez ? permettez le cœur d’en douter comme une neige en plein juillet je sais tout vos contes de fées oui mais madame vous m’aimiez vos larmes auraient elles séchées plus vite qu’elle ne sont tombées dans les bras d’un autre c’est vrai
7.
La fin 03:40
Fin J’crois qu’c’est la fin mais les gens m’disent Que c’est l’aurore d’une autre vie J’entends d’ja les sirènes au loin Leurs chants traversent un cœur éprit J’me confie qu’à la nuit On parle en vieux brouillon froissé Moi chui son ombre c’est ma clarté C’est dans ses silences que j’m’oublie La fin c’est qu’le dernier poème Le vent l’emporte comme la pluie Alors sous le ciel infini Je maudis ma pauvre espèce humaine J’ai des images en paysage Ça tourne comme une putain d’chanson L’refrain c’est qu’un mauvais présage J’ai l’problème mais plus d’solution J’connais l’bonheur mais l’est parti La liberté c’était qu’un passage La vie c’est chaîne et matraquage Ça nous apprend la modestie Chui l’homme moderne qu’est né trop tard J’ai la malchance des nouveaux temps On a vécu l’époque ou l’diable S’est caché dans une connexion J’ai pas l’courage de m’sieur Gandhi Ou bien la plume de bob Dylan Mais leurs mondes j’pourrais l’mettre en flamme J’ai plus l’temps pour les poésies Ces vers gloutonnant mon esprit Ici notre dieu c’est l’bénéfice On a plus temps pour les prières J’ai l’impression d’faire du hors piste Que j’meurs dans mon coin solitaire Demain sera moins bien qu’hier J’attends d’vant les portes de l’enfer Mais pourquoi j’aurai peur d’un ange Derrière c’est qu’des flammes et d’la fange Chui aussi deçu qu’Lucifer J’continuerai d’faire des chansons Pour toutes les ordures de la terre Ça sera l’été un peu tout le temps Et cette chaleur s’ra notre misère Elle m’guette d’un air solennel L’a des péchés plein les prunelles Qui s’fondent alors en petites flaques Et ruissellent sur un sol opaque Elle m’enlace un peu comme le vent N’y a pas d’façon d’être plus humain Sachant qu’tout peux finir demain Le temps c’est vraiment qu’une fiction Y a pas d’lumière et pas d’bon vins Le paradis c’est pas l’néant C’est sans silence et sans notions Ça s’définit au fond de la tête C’est un peu comme une démission Chui fatigué j’trouve le temps long Et prisonnier d’ma propre espèce J’pourrai pas m’noyer dans leurs liesses J’ai pas l’courage de m’sieur Gandhi Ou bien la plume de bob Dylan Mais leurs mondes j’pourrais l’mettre en flamme J’ai plus l’temps pour les poésies Ces vers gloutonnant mon esprit Ici notre dieu c’est l’bénéfice On a plus temps pour les prières J’ai l’impression d’faire du hors piste Que j’meurs dans mon coin solitaire Demain sera moins bien qu’hier
8.
Substances 02:23
substances Madame c’est ma seule amie Mon humour, ma monotonie, Madame compte des récits la nuit, Les fleurs du mal poésie. Ces naufrages, en harmonies, Son humour, sa mélodie Rendent l’amour mélancolique. Elle est évidence, Je la désire en permanence. Ce soir le diable dance En un monde où règne latence. Madame est désobéissance, Nous délivre de l’innocence. Madame vole au paradis Les ailes des anges, jalousie étrange ... Déesse mon âme est éprise, Mon amour, ma catharsis, J’accède à tous vos caprices... Madame est un mauvais présage, Elle scintille comme un mirage. Madame n’est que mélodie, ombrage. Harmonise tout mes paysages. Cette nymphe est éclectique, L’ouvrage est métaphorique, J’aime tant ses rhétoriques Elle se nourrit des moments blêmes Aux souvenirs d’Eden, M’a susurré les plus beaux thèmes, De sa voix souveraine Madame s’adonne entre amis, S’effrite et s’embrase la nuit. Madame n’est plus qu’un délit Plus exquis, qu’aucun bonheur dans cette vie. Déesse mon âme est éprise, Mon amour, ma catharsis, J’accède à tous vos caprices... Je m’enivre des fleurs du mal. Les yeux rouges, à l’horizontale. En mon enfer lacrymal Le diable se déguise en femme. Mon nuage est de passion, Il s’accompagne de son, Sème des mots du cœur, Des textes tristes en fleurs. Comme un printemps Renaissant de ces cendres, Je l’embrasse au firmament, Elle me serre à me fendre. Et l’obscure obstrue mes poumons... Déesse mon âme est éprise, Mon amour, ma catharsis, J’accède à tous vos caprices...
9.
Emotion 03:49
Emotions Nos chemins sont de rêve Et fait d’espoir et d’abandons Le cœur est vagabond, Un voyage sans trêve S’endort la clarté, Et tout comme la nuit Un silence à l’esprit, Je me perds dans tes pensées Et j’erre tes couplets, Mon passé en récit L’âme en philosophie… Nos idées sont les mêmes Et se confrontent en harmonie En douces mélodies, Aux refrains de bohème J’ai qu’des accords mineurs En guise d’horizon en couleur L’encre goutte et la feuille pleure Un peu pour moi, pour mes erreurs… Peut-on condamner la passion ? Quand ca donne chaud à l’intérieur Puis qu’ca brule à s’en crever l’cœur Et qu’ca consume en feu ardent Noyé dans une rivière de toi, d’émois. Naufragé de tes bras Jouons à cœur ouvert Jusqu’aux derniers refrains d’effrois Mon amante et ma voie J’ai ce bouquet de mot Ce pour repartir à zéro Et témoigner ma bonne foi Mon univers c’est toi J’ai tout les sacrifices, Obligé des milles caprices, Esclave de tous tes contrats Et serait-ce la foi ? ou bien la vanité ? Tout comme un feu de bois Braise dans mon cœur agité Tout comme l’encre coule Aux grés de tes subtilités Sur la feuille enneigée Ou pleure l’encrier Enfuyons nous si loin Que ce monde puisse nous oublier La liberté j’la plains T’as la clef d’SOL chui menotté Ma déesse en sonnet Mon amour en secret Je viens d’un univers Entre mon ombre et ta clarté Un monde harmonisé En ondes colorées Qu’importe les nuits sombres à te compter Tous mes chagrins Qu’importe la tourmente Qui sévit dans tes confins Je t’offre tout mes rêves Un océan d’étoile Un univers céleste Divisé entre bien et mal Que mon ciel soit gris Qu’il saigne ses nuages En gouttes de poésies Tombant sans fin sur tes rivages Mauvais présages Du son découle ses images… Le cœur est pierre précieuse Matière dure comme la roche Métal froid et fier Qui ne s’exprime qu’avec des croches Mais que serait la vie En étant privé de l’espoir Sans toi ma mélodie, La ville est plus qu’un grand cauchemar Serait-ce la dernière De mes dépendances en misère Et j’erre dans tes cimetières Chantant des chansons délétères Mon âme est une musique Et la musique est mon ilot Sur l’océan stupide Que j’ai construit avec des mots

about

Lucas Usseglio Auteur compositeur interprète, nous délivre une composition artistique humaniste et passionnée.
Un cadre sombre et presque cinémato-graphique reproduit les ombres du passé au sein d’une chambre mal éclairée où la lumière des persiennes laisse entrevoir un espoir teinté de douleur.
La francophonie des textes laisse murmurer le spleen Baudelairien.
Lucas Usseglio concrétise par cet album, des mélodies meurtries par les dépendances, un panel de substances et de désirs obsessionnels

credits

released July 1, 2020

Auteur Lucas Usseglio
Compositeur Lucas Usseglio
Réalisation Florent Silve

Musique et arrangements Florent Silve Studio FreeMonkey

Guitares Lucas Usseglio
Trompette Martin Saccardy

Mix et Mastering Florent Silve
Studio FreeMonkey

Pochette Herminie Ledeuil

license

all rights reserved

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about

Free Monkey Records Label Marseille, France

Label Indépendant / Editions Musicales

Artistes :
Popcorn Romance
Times Box
Christophe Ferrand
Electrik-Pô
Lucas Usseglio
Décorum
Méta Abegg
Gilles de la Buharaye

Label crée en 2017 par Florent Silve / Collaborateur:
Graphisme Design et conseils
Herminie Ledeuil
Prod exe. Conseils
Stéphane Quilichini
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